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Encore un jour sans Giroud
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
Dricot
Protection:
Filigrane
Année de parution:
2015
ISBN-13: 9782870954676
Description:
<b>Enquête policière au coeur des rédactions des grands journaux</b><br><br>Luce Verbinski est la rédactrice en chef d'un prestigieux hebdomadaire culturel parisien. Fascinée par Françoise Giroud, " patronne " des journalistes et célèbre fondatrice de l'Express, elle l'imite en tout. Un meurtre odieux et la disparition inexpliquée de Juliette Fontanges, une jeune journaliste belge, perturbent la rédaction. L'enquête menée au Quai des Orfèvres par le capitaine Ange Mattéi le conduira de Paris en Dordogne, sur les ruines de la châtellenie de Miremont. <br><br><b>La passion des objets d'art des Collections privées est le pivot de ce nouveau roman policier dédié à une femme mythique, Françoise Giroud.</b><br><br>CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE <br><br>- "Une bonne idée de cadeau [...] à réserver aux amateurs de polars." <b>(L'Avenir)</b><br><br>A PROPOS DE L'AUTEUR <br><br>Martine Cadière est Waterlootoise. Elle écrit essentiellement des romans policiers contemporains dont le sujet est toujours une femme mythique, qui a des combats à mener et des idées à défendre. Un gendarme Corse, malin et suprêmement courtois, dirige les enquêtes. Martine Cadière est membre de l'association des Conférenciers francophones de Belgique, des Ecrivains belges francophones, des amis de George Sand, et académicienne de Provence.<br><br>EXTRAIT <br><br>Je m’appelle Juliette Fontanges, mais ni mon nom ni ma personne n’intéressent quiconque. Car il s’agit de parler d’Adèle, ma grande girafe de soeur, une fille épatante que j’aime beaucoup et qui a disparu, je veux dire vraiment disparu, sans laisser de traces.<br>Je l’ai précisé, ma soeur ressemble définitivement à une girafe. Elle est grande, gigantesque même, et affligée d’une masse anormale de cheveux blonds qui lui poussent de partout. Nous avons grandi ensemble en Belgique, à Waterloo. Nous vivions dans une petite maison ouvrière du quartier de Joli-Bois, un quartier où notre mère allait faire ses courses à pied, en traînant derrière elle un panier à roulettes. C’était un foyer joyeux, mes parents riaient de tout, sans aucune mesure, avec une gaieté pétillante comme un très bon cava. Mon père, tonitruant et rabelaisien, n’attendait pas la fin des repas pour taper sur le ventre des invités, et je crois avoir entendu à la maison plus de chansons paillardes qu’un foyer d’étudiants éméchés à l’issue d’un bizutage orgiaque.