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Défense du citoyen Blanqui devant la cour d'assises
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Défense du citoyen Blanqui devant la cour d'assises
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Disponibilité:
Ebook en format EPUB. Disponible pour téléchargement immédiat après la commande.
Éditeur:
Bookelis
Protection:
Filigrane
Année de parution:
2018
ISBN-13: 9782955877265
Description:
Louis Auguste Blanqui, né à Puget-Théniers (Alpes-Maritimes) le 8 février 1805, est d'origine italienne.

Carbonaro depuis 1824, au sein de cette organisation secrète en lutte contre la restauration monarchique, Auguste Blanqui est mêlé à toutes les conspirations républicaines de son époque. Dès lors, se succèdent pour lui complots, coups de force manqués et emprisonnements.

En 1825-1826, il participe au journal saint-simonien Le Producteur fondé par Olinde Rodrigues et Prosper Enfantin.

Il entre au journal d'opposition libérale de Pierre Leroux Le Globe fin 1829. En 1830, on le compte dans les rangs de l'association républicaine la plus séditieuse, connue sous le nom de Conspiration La Fayette, qui joue un grand rôle dans la préparation de la Révolution de 1830, à laquelle il participe activement. Après la révolution, il adhère à la Société des amis du peuple , il se lie avec d'autres opposants au régime orléaniste : Buonarrotti (1761-1837), Raspail (1794-1878) et Barbès (1809-1870), entre autres.

En janvier 1831, au nom du « Comité des Écoles », il rédige une proclamation menaçante. À la suite de manifestations, il est emprisonné à la Grande Force pendant trois semaines. Mais, récidiviste et prêchant toujours la violence, il est de nouveau arrêté et inculpé de complot contre la sûreté de l'État. Fin 1831, a lieu un procès durant lequel lui et quatorze camarades sont accusés de délits de presse. Blanqui témoigne alors de son caractère révolutionnaire, réclamant le suffrage universel, accusant des bourgeois d'être des 'privilégiés', se déclarant, lui, prolétaire. Il utilise une formule qui témoigne de son idéal socialiste : 'Frapper d'impôts le nécessaire, c'est voler , frapper d'impôts le superflu, c'est restituer.' Et il dit alors : 'Toute révolution est un progrès'. Aggravant alors son cas devant les juges, il est alors condamné à un an de prison.
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